Début octobre, la jeunesse d'une douzaine d'États du sud et du centre de la fédération nigériane, présidée par l'ancien général Muhammadu Buhari, s'emparait de la rue. L'objectif était de dénoncer, après un assassinat de trop, les exactions des SARS (Special Anti-Robbery Squad), la brigade spéciale de (...)
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Échos d’Afrique